« La création de montages complexes n’est plus réservée aux ingénieurs à la retraite ou aux étudiants des écoles spécialisées… Avec des plateformes comme Arduino n’importe qui peut aujourd’hui se lancer dans l’aventure… Ce Hors-Série propose une initiations aux bases de l’électronique, en évitant les laïus rébarbatifs pour se concentrer sur l’essentiel ! » – Extrait de l’Édito de ce numéro spécial électronique.
L’équipe de Canard PC nous a habitué(e)s à des publications intéressantes, mais avec ce Hors-Série c’est toute la communauté Raspberry Pi et Arduino qui est visée.
Vous voulez commencer à utiliser ces 2 cartes « magiques » mais vous pensez que vos connaissances en électronique sont insuffisantes voire inexistantes ?
Canard PC spécial Électronique : Tout pour bien débuter
Ce numéro est fait pour vous. Électronicien d’origine (tout le monde a des défauts 🙂 ) j’ai dégusté ce numéro Hors-Série dès que je l’ai ramené de mon point presse favori.
Je ne peux que confirmer ce qui est annoncé : Tout pour bien débuter. Je ne vous dis pas que la simple lecture de ces pages fera de vous un électronicien aguerri, mais vous aurez déjà la compréhension de ce que sont les composants de vase qu’on utilise en électronique (et sur les cartes Raspberry Pi et Arduino). Il faudra aussi bosser un peu par vous-même (bin oui qu’est ce que vous croyez ?) pour voir comment fonctionnent les formules et comprendre leur utilisation. J’ai vu trop de « futurs techniciens » qui regardaient une formule comme un pêcheur de grande marée débutant regarde une étrille… Sans savoir trop dans quel sens ça se manipule 😉
Je vous propose de commencer par le sommaire de ce numéro, avant de ploger plus avant dans son contenu.
On commence par les règles de sécurité. C’est toujours bien de les rappeler. J’essaye toujours d’y penser sur framboise314 quand le courant du secteur est utilisé. Ce n’est pas juste de la rigolade. Du genre « Rôôô j’ai encore pris un coup de jus ! » Non, on peut y rester ! Envie de vous transformer en grille pain ou en bouilloire ? C’est votre problème… Mais si vous voulez profiter des montages que vous réalisez, suivez les conseils qui sont donnés ici 🙂
Avertissement aussi au sujet des batteries lithium qui ont une fâcheuse tendance à se transformer en feu d’artifice (demandez à Samsung 😉 ).
Le parcours initiatique commence avec les bases : C’est quoi une tension, un courant, un volt un ampère ou un watt ? Et puis celui par lequel tout (ou presque) a commencé ! Un homme de loi qui a fait de la résistance ! Vous l’avez reconnu, c’est Georg Ohm qui était… Allemand.
Pour avoir longtemps « sévi » en électronique, je peux vous assurer qu’avec cette seule loi on fait une grande partie des calculs nécessaires. Elle est utile partout, que vous vous intéressiez aux diodes, transistors, ampli-op, convertisseurs… Vous la retrouverez dans vos pattes (de composants). Alors autant l’apprivoiser, la comprendre. Vous avez le droit de la retourner dans tous les sens 🙂 !
La loi d’Ohm amène à parler des résistances. Cet article vous fait découvrir ce composant sous ses différentes formes, son marquage et son utilisation (comme pont diviseur par exemple).
Pour mémoire Manu nous avait régalé avec son Histoire de pont diviseur n’hésitez pas à refaire un tour sur cet article 🙂
Et puis une application du pont, c’est le potentiomètre. L’article suivant parle des résistances variables. Au menu également les thermistances et varistances.
Après la résistance, composant de base, Canard PC vous présente le condensateur (attention, contrepèterie !). Point d’alim sans ce condensateur. Plastique, céramique, électrochimiques, ils sont tous là.
Dans la foulée c’est l’inductance, la self, la bobine qui est abordée. Ce composant est très employé aujourd’hui dans les alims à découpage par exemple et dans tous les up-converter, down-converter et autres buck-converter qui fleurissent sur les sites asiatiques. Mais ils font aussi partie de l’alim des Raspberry Pi 🙂
Après les composants passifs viennent les composants sans qui l’électronique ne serait pas ce qu’elle est… J’ai cité les diodes et les transistors qui accomplissent chacun dans leur domaine de petits miracles quantiques.
Ce sont ensuite des assemblages plus complexes de diodes et transistors qui ont la vedette : les amplificateurs opérationnels et les convertisseurs analogique <=> numérique.
Arrivent ensuite les régulateurs intégrés ainsi que les convertisseurs de niveau bien pratiques pour faire converser un Raspberry Pi (3.3v) et un Arduino (5v).
Le matériel nécessaire à tout bon débutant est ensuite abordé : tournevis et pinces, plaquette d’essai (breadboard) multimètre, alim, fer à souder…
Avant d’attaquer dans le dur :
Les entrées, comment les utiliser, quels capteurs brancher ?
Les sorties parce qu’on dira ce qu’on veut mais le but c’est quand même d’allumer une lampe, commander un moteur, déclencher un radiateur… et pour ça on n’a encore rien trouvé de mieux qu’une sortie 🙂
Tour d’horizon de la famille Arduino… Dans la famille Arduino je voudrais… le grand-père ! Pas de bol il est au bistrot 🙂
On découvre ici les différentes cartes, des prix, des brochages… ainsi que les principaux shields (le paradis des feignasses – c’est pas moi qui le dit)
Idem pour le Raspberry Pi, présenté dans ses diverses déclinaisons, ainsi que quelques cartes alternatives.
Après toutes ces présentations on passe à l’acte : Un Arduino, une LED et c’est parti pour le Hello World électronique : allumer une LED. Après… on peut aussi l’éteindre 😉 ou la commander en PWM. Vous verrez tout ça dans les pages suivantes, ainsi que la lecture d’une tension et/ou d’un capteur.
Un tour par les interruptions et vous voilà en train de connecter un écran LCD pour donner la « parole » à votre Arduino qui s’énervait avec sa LED. Et puis si un écran à deux lignes de caractères ne vous suffit pas, voici un écran OLED 160×128, de quoi afficher logos, images et autres courbes.
Enfin pour que votre Arduino ne s’ennuie pas tout seul dans son coin vous le doterez d’un shield GSM ou du WiFi.
Allez on arrive chez nous… Sur le Raspberry Pi vous apprendrez à brancher un bouton poussoir, à lire sa valeur (oh tout simple 🙂 1 ou 0 ), à faire clignoter une LED (allumé, éteint, 1, 0…), à allumer la LED quand on appuie sur le bouton poussoir (mais jusqu’où iront-ils 😀 )
La Sense Hat est abordée ensuite. La même qui équipe les deux Raspberry Pi de l’espace ! Avec son écran coloré de 64 LED, ses nombreux capteurs, son joystick…
On vous parlera aussi du PiFace Control and Display 2, avec son afficheur, son capteur infrarouge qui permet d’utiliser une télécommande comme organe d’entrée et ses boutons.
Quitte à faire bondir les défenseurs de la loi, la revue décrit un émetteur FM à base de Raspberry Pi. Elle rappelle cependant la Décision ARCEP 2014-1263 qui autorise l’émission dans la bande FM avec une puissance inférieure à 5nW -et non 5mW comme indiqué dans la revue (page 11/35).
Vous apprendrez ensuite comment installer un module RTC pour que votre Raspberry Pi soit toujours à l’heure, même lorsqu’il n’est pas relié à l’Internet.
On termine par une incursion dans le monde de la domotique avec la description de la lecture de données d’un compteur électrique, pour un affichage de votre consommation sous forme de courbe.
Conclusion
C’est pas souvent… Mais je pense que ce numéro de Canard PC HARDWARE a mérité un Raspberry Pi d’or. A mon avis c’est une lecture indispensable pour un débutant et je pense que les FabLab devraient en avoir un exemplaire dans leur bibliothèque 🙂
Si vous l’avez feuilleté, acheté, lu ? N’hésitez pas à laisser vos remarques dans les commentaires ci-dessous…
Super Merci François !
Bon, en légère manque de lecture (quoique), je l’ai acheté hier soir chez mon buraliste préféré.
Je le dévore avec plaisir, histoire de voir ce qui a changé depuis mes années E.E.A.
Fram
Bonjour et merci pour ton article sur ce magasine
Étant ancien électronicien à la retraite, et ayant a mon actif plusieurs créations industrielles, je vais l’acheter .. pour voir !
J’étais tuteur dans l’industrie ferroviaire de jeunes du CAP a Ingénieur.
Le gros projet a duré environ 5 ans: commande d’un disjoncteur industriel 15KV / 9KA en partant
de la commande simple ( résistances / capa / mesure de courant ) aux commandes et modificatifs des consignes par téléphone style « bluetooth ». Ceci passant par l’utilisation de composant discrets à consigne fixée.
Donc, 3 niveau de connaissance pour les jeunes ( CAP/BEP, BAC, ingénieur )
Souvent ces types de bouquins font des raccourcis un à la olé olé …
Mais ce peut être un bon usage, pour un » geek » qui ce lance …
Je t’en dirais ce que je pense …
Bonjour
oui merci pour le retour à venir
j’étais plutôt dans la « petite » électronique d’abord sur avion puis en indus mais sur des machines orientées contrôle de process sans toucher les « commandes » courant fort 🙂
j’ai trouvé que ce numéro était bien pour des débutants (j’ai formé des électroniciens dans les années 90)
tu me diras ce que tu en penses
à bientôt
cordialement
François
Bonjour,
Après la lecture de la revue, j’ai eu le sentiment de lire une revue ludique. Mais il manque de mon point de vu un peu de fond. On survole beaucoup de sujet, mais sans entré en profondeur.
Bref on reste un peu sur sa faim.
Pour un débutant, cette approche ludique pourrait donner envie d’aller un peu plus loin.
Cordialement
Christophe
bonjour Christophe
oui c’est délibérément orienté vers les débutants ! C’est ce qui m’a plu et je défend la même approche
une fois qu’on a démarré on devient (souvent) autonome mais pour le démarrage il faut y aller en douceur 🙂
cordialement
François
Il s’agit d’une excellente approche destinée aux plus jeunes mais aussi à ceux qui cherchent un prétexte pour ressortir la breadboard et les résistances du tiroir.
Je retiens aussi la très bonne rédaction , si si c’est important de ne pas écrire qu’avec les pieds y compris en techno. 😉
Faire passer un message exige un minimum d’expression en bon Français même si les datasheet sont en Anglais, c’est bien d’habituer les plus jeunes à lire de bonnes tournures de phrases.
Je suis agréablement surpris par le niveau de ce hors série pour moins de 7 euros, il fera probablement des heureux.
Merci Francois, encore un bon conseil pour nous faire dépenser de l’argent 😉
Bonjour Bernard
merci pour ce retour
je tiens à préciser que je n’ai pas d’actions chez Canard PC ! Quand je parle d’une revue je l’ai aussi achetée dans mon point presse habituel 😉
cordialement
François
bon, bah déjà des bêtises sur le calcul de la puissance de R dans l’exemple de la diode led de puissance !
Page 11, .. je vous laisse faire 😉
bonjour
bin…
Tension aux bornes de la LED = 1.85v
Reste aux bornes de la résistance 9v – 1.85 = 7.15v
S’il passe 20mA dans la LED, il passe aussi 20mA dans la résistance
Puissance dissipée par la résistance = U x I => 7.15v x 0.020A = 0.143W ou 143 mW
D’une autre façon
Valeur de la résistance ?
Elle doit faire chuter la tension de 7.15v lorsqu’elle est parcourue par un courant de 20mA
R = U / I => R = 7.15v / 0.020A = 357.5 Ohms
Zut j’en ai pas dans ma boîte… je mets une 360 ohms
Quelle puissance dissipe-t-elle (à peu près) P = R x I x I
P = 360 x 0.020 x 0.020 = 0.144W ou 144mw
Dans les 2 cas je mettrai une résistance de 250mW
Je ne vois pas ce qui n’est pas juste sur la revue 🙂 ?
cordialement
François
le calcul pour une led de puissance :
courant dans la led: 350mA
tension de la led: 2.1V
tension de la pile: 9V
tension Ur : 9-2.1=6.9V
R= 6.9/0.35=19.7 ohm
puissance de la resistance :
P=UI = 6.9*0.35= 2.41W
hors il est noté que si l’on trouve autre chose que 3.6W, on peut recommencer 😉
Ah ça y est j’ai vu dans le texte 🙂
j’avais zappé cette partie je m’étais basé sur le schéma 🙁
je recommence 🙂
Bin oui ! 2.41 W
En plus a la louche : Dans la résistance : 9 v pile – 2v LED (j’ai dit à la louche 🙂 )
ça fait 7v aux bornes de R
avec un courant de 350 mA (à la louche un tiers d’ampère)
ça fait P = U x I = 7/3 W soit 2 et quêque
donc ça ne peut pas faire 3.6 watts
Bon dans les 2 cas on mettra quand même une R de 5W (ou 10W si on en a une sous la main)
Bravo !
cordialement
François
J’ai recommencé 3 fois le calcul … Alors imagine un débutant .. !
Bon, je vais reprendre sa lecture …
Bonsoir ,
C’est le mode économie d’énergie !
Avec 20mA dans le noir complet , elle doit bien s’illuminer un peu , non ?
😉
Bonjour François,
Toujours intéressant de suivre tes posts !
En fait cet article est cohérent puisque dans le premier calcul il est indiqué qu’il faut : « rajouter 50% à la valeur calculée pour limiter l’effet d’échauffement ».
Dans le second calcul : 2,4W*1,5 = 3,6W.
J’espère que ton séjour à Bédoin se passe bien, mais je ne serai pas disponible pour aller te voir.
Christian
Bonjour,
Je l’ai aussi achetée cette revue après l’avoir feuilletée chez mon buraliste. J’ai juste commencé la lecture et je confirme qu’elle est très orientée débutant et un hors-série un peu plus long aurait été appréciable. Par contre c’est bien écrit et agréable à lire. Le contenu me convient bien car je me considère encore comme débutant, car lorsqu’on me parle de NE555 en configuration astable, je suis perdu :). S’il passe par là, il faudra que Denis Bodor explique dans un nouveau numéro comment cela fonctionne, car je suis restée sur ma faim dans le dernier article sur l’alimentation d’un Arduino. En tout cas bravo, continuez à écrire des revues comme ça ! Framboise d’or mérité 🙂
merci pour eux 🙂
Bon, bah fini … C’est un très bon canard pour les débutants qui se lancent .
Malgré plusieurs paragraphes barbants sur les fondamentaux des composants ( électrons, trous… )
qui m’ont rappelées mes études , c’est plutôt bien tourné et peut intéresser les futur geek .
Bonne approche sur les pont diviseurs de tension et leur calcul, il manque le diviseur de courant qui peut être important .
Les condensateurs, divers résistances variables ( ctp / ctn / varistance …) sont bien abordés .
Un truc m’a surpris, les transfo hf ( alim a découpage ), les convertisseurs adc / dac , les AOP … Là, soit il manque de calcul ( rapport E/S des transfo ) soit ils sont allés trop loin .Bon, c’est une approche …
Par contre, je trouve top les trucs sur les diverses cartes et les explications sur les gpio : pull-up / down ( forcer a 1 ou 0 un gpio ) … Une chose que j’ai apprise, les pull-up peuvent être validées de manière logiciel sans rajouter cette résistance : bien !
Donc, pour moi ( hormis la petite erreur pré-citée ) ce canard a sa place dans la pile.
PS: le NE555 en configuration astable c’est le plus simple 😉 il est juste » astable ( instable ) «
merci pour ce retour ! 🙂
un petit truc quand même … il manque la loi des nœuds et la loi des mailles …
🙂
L’électronique comme l’informatique est un domaine qui nécessite un certain niveau de compétence. Rendre ce domaine accessible à tout le monde serait une bonne idée, mais cela amènerait aussi certains à effectuer des expériences dangereuses.
comme par exemple ?
Et bien, il y a les apprentis terroristes qui n’hésiteront pas à fabriquer des bombes artisanales. Il y aussi les malintentionnés (des hackers) qui n’hésiteront pas à user de leurs compétences pour comprendre les composantes électroniques des dispositifs de sécurité des institutions et des entreprises. Mais peut-être est-ce une problématique qui ne devrait pas se poser??
Bonjour Alex
bah ils n’ont pas besoin de ça il suffit qu’ils suivent un cursus universitaire pour acquerir bien plus de compétences… Après c’est comme un marteau : faut-il interdire de vendre des marteaux parce qu’un jour quelqu’un a tué son voisin à coup de marteau ? N’empêche que pour planter un clou dans une charpente c’est encore ce qui est le plus pratique !
Non, comme toutes les technologies, celle-ci peut servir au bien ou au mal (projet Manhattan ?) ça dépend de celui qui l’utilise. Mais on ne peut pas revenir en arrière, sinon on en serait encore à l’âge de pierre. Soit on refuse le progrès, soit on accepte que son utilisation soit détournée à des fins malhonnêtes ou pour faire le mal.
Mais là ce n’est plus du Raspberry Pi, c’est de la Philo… 🙂
Bonsoir,
Même s’ il n’ est pas toujours facile d’ alimenter un blog en news, de là à scanner des pages entières d’ un magazine, …
… un simple résumé ou une critique constructive sans extraits de la revue par honnêteté intellectuelle pourraient suffire.
A bon entendeur, cordialement.
Bonsoir Frédéric
pour ma défense, je précise que ce ne sont pas des « pages entières » de magazine (en dehors de la couverture et du sommaire) qui sont scannées, mais uniquement les titres, une image d’accroche et le tout début du texte…
A mon avis ça permet de montrer à ceux qui pourraient être intéressé(e)s ce que contient la revue.
Si vous consultez la liste des quelques 780 articles du blog, vous verrez que les présentations de revues n’en composent qu’un faible part.
Je présente régulièrement des revues comme Hackable, Programmez, Electronique et Loisirs Magazine, L’officiel PC du Raspberry Pi et d’autres qui voudront m’excuser de les oublier sans que jamais la revue ne s’élève contre cette présentation (auquel cas j’arrêterai bien entendu de le faire).
De plus si vous lisez les commentaires, vous verrez que les rédactions participent aux discussions avec par exemple ce commentaire de Denis Bodor, rédacteur en chef de Hackable https://www.framboise314.fr/hackable-magazine-n15-est-sorti/#comment-30597
ou celui-ci de Benoît Bailleul responsable de L’officiel PC Rasberry Pi : https://www.framboise314.fr/lofficiel-pc-raspberry-pi-n1-premiere-revue-100-raspberry-pi-en-france/#comment-31341
Pensez vous que ces personnes viendraient répondre aux commentaires des lecteurs si elles n’étaient pas d’accord avec ce qui est présenté sur le blog ?
Depuis 4 ans et demi je n’ai eu qu’une réclamation en provenance d’Elektor, pas pour la présentation avec scan partiel de pages, mais parce que j’avais mis un lien vers un poster gratuit sur le Raspberry Pi qui avait paru dans la revue. J’ai donc supprimé ce lien du blog à leur demande.
La presse (et pas que la presse informatique) souffre de la concurrence des sites web. Dernièrement Canard PC signalait que certains sites reprenaient in-extenso certains de ses articles sans citer la source ! Ce n’est jamais le cas sur framboise314 Les sources sont toujours mentionnées. Il n’y a pas d’articles complets, juste de quoi informer les lecteurs sur le contenu des revues… Je suis auteur moi même et je respecte le droit d’auteur de mes confrères. J’estime que cette présentation est un moyen de faire découvrir une presse courageuse de continuer à faire ce travail malgré les contraintes et la concurrence du web.
Pour le reste je fais souvent un retour sur les articles et sur ce que je pense globalement de la revue dans la conclusion.
Cordialement
François